La vérité a toujours le dessus sur le faux : Mohammad bin Hâdî a été condamné par un tribunal islamique pour avoir accusé le prédicateur de Hollande Abou Ayyoub d'avoir commis la fornication. Cette accusation fût lors d'une allocution publique dans une mosquée et enregistrée.
Cette condamnation vient d'être confirmée en appel et l'acte juridique émis.
Cette condamnation vient d'être confirmée en appel et l'acte juridique émis.
Il est jugé fâsiq (pervers), son témoignage n'est plus accepté et il devra subir 80 coups de fouet. Il devrait aussi perdre son poste d'enseignant à l'Université de Médine. Parmi les ''preuves'' avancées par ses partisans est le témoignage des responsables de la librairie Ibn Bâz Bookstore à Rotterdam en Hollande qui ont fourni des captures d'écran du frère en question lorsqu'il y travaillait où on le voit toucher une femme totalement couverte à certains endroits. Les mousa'fiqah ont propagé ça partout sans modération via les réseaux sociaux et l'internet. Je me rappelle avoir dit à ce moment-là ''c'est peut-être son épouse soubhâna Allah''. Cela a été présenté au juge en Arabie saoudite qui l'a rejeté car le tuteur de la femme en question et 2 témoins dignes de confiance ont établi que... c'était bien son épouse. Aujourd'hui alhamdoulillâh les responsables de la librairie Ibn Bâz Bookstore publient d'ailleurs une clarification dont les points importants à retenir sont :
1: Ils n'avaient écrit ce témoignage que pour les savants et pour personne d'autre sur demande de certains individus de l'entourage de Mohammad bin Hâdî. Ils avaient interdit sa diffusion. Ils estiment donc avoir été trahis par cette publication.
2: Ils avaient écrit ce témoignage en 2016 avant la fitnah de Mohammad bin Hâdî.
3: Ils rappellent que ce témoignage n'a rien à voir avec leur position dans cette fitnah.
4: Ils disent avoir prétendu que cette femme n'était pas l'épouse d'Abou Ayyoub et que c'était une erreur de leur part car cela a été prouvé au juge et donc ils demandent pardon à ceux qu'ils ont opprimé dans cette affaire.
5: Ils affirment que la vérité dans cette fitnah est avec Cheikh Rabî' Al-Madkhalî et ils conseillent notamment à tous d'être véridiques. Clarification en date d'aujourd'hui le Dimanche 16 Juin 2019.
Ceci est encore une bonne leçon pour ceux qui ne craignent pas Allah et se précipitent dans les fitan et calomnient et bafouent les honneurs des gens sans donner d'importance aux conséquences de leurs actes. Les mousa'fiqah vont-ils être sincères et se repentir d'avoir diffusé ce témoignage que les auteurs eux-mêmes regrettent ?! Maintenant que le jugement a été confirmé en appel, vont-ils être sincères et arrêter de dire comme leur cheikh pour lequel ils se sont fanatisés et ont divisé la communauté ''vous allez voir'', ''nous avons des preuves'' ?!
Vont-ils suivre l'exemple de leurs frères d'Ibn Bâz Bookstore et proclamer la vérité même si elle est contre eux et demander pardon à ceux qu'ils ont opprimés ?! Vont-ils comme leurs frères d'Ibn Bâz Bookstore déclarer que la vérité est avec Cheikh Rabî' dans cette fitnah ?!
J'en connais en Belgique notamment qui envoyaient ce genre de ''preuves" en vidéos et en captures d'écran et qui lorsque quelqu'un leur disait ''craignez Allah, c'est grave comme accusation'' ils répondaient ''mais on rigole !''. Est-ce que cette excuse va tenir devant Allah ?
Ecrit par Mehdi Abou ‘Abdir-Rahmân sur Twitter @mehdimaghribi
Le dimanche 16 juin 2019
Allah élève et rabaisse qui Il veut, comme Il veut.
L'impact de la sédition (fitnah) dans l'homme est à la mesure de sa position envers elle. Celui qui met en avant sa passion au lieu de la position des grands savants indulgents et éducateurs finit par s'enflammer dans l'injustice comme un vulgaire combustible.
L'impact de la sédition (fitnah) dans l'homme est à la mesure de sa position envers elle. Celui qui met en avant sa passion au lieu de la position des grands savants indulgents et éducateurs finit par s'enflammer dans l'injustice comme un vulgaire combustible.
De toute évidence, il n'y a pas de sédition touchante les musulmans sans sa part d'exagération, de fanatisme et de mensonges.
Pas de doute que la religiosité des gens, ainsi que la vie mondaine sombre dans la corruption quand le mensonge se répand et domine les pensées.
L'imam AbdouRahman ibn Yahya Al-Mou'alimy Al-Yamani (1312 - 1386 H.) a dit :
"Cela te suffit de savoir que l'homme connu pour le mensonge a extirpé sa personne de l'humanité. Ceci, car celui qui le connaît est habitué à ne pas fiabiliser sa parole, les gens ne profitent donc en rien de lui. Et celui qui ne le connaît pas tombe dans des méfaits et des nuisances en pensant qu'il est véridique. Tu vois donc que la mort de cet homme est meilleure pour les gens que sa vie.
Et si seulement il profèrerait parmi les mensonges ce qui n'est pas nuisible (aux autres), il en serait capable, mais il y aurait alors de la nuisance pour lui-même puisqu'il aurait perdu la confiance des gens en lui. Un seul mensonge est suffisant pour ébranler la confiance des gens en lui." Haquiqua At-ta'wil p. 14. Trad. Abou Yahya
Pas de doute que la religiosité des gens, ainsi que la vie mondaine sombre dans la corruption quand le mensonge se répand et domine les pensées.
L'imam AbdouRahman ibn Yahya Al-Mou'alimy Al-Yamani (1312 - 1386 H.) a dit :
"Cela te suffit de savoir que l'homme connu pour le mensonge a extirpé sa personne de l'humanité. Ceci, car celui qui le connaît est habitué à ne pas fiabiliser sa parole, les gens ne profitent donc en rien de lui. Et celui qui ne le connaît pas tombe dans des méfaits et des nuisances en pensant qu'il est véridique. Tu vois donc que la mort de cet homme est meilleure pour les gens que sa vie.
Et si seulement il profèrerait parmi les mensonges ce qui n'est pas nuisible (aux autres), il en serait capable, mais il y aurait alors de la nuisance pour lui-même puisqu'il aurait perdu la confiance des gens en lui. Un seul mensonge est suffisant pour ébranler la confiance des gens en lui." Haquiqua At-ta'wil p. 14. Trad. Abou Yahya
Les mousa'fiqua (Mohammed ibn Hadi, Khalid Othmane, Khalid ibn AbdiRahman, Ahmad Bazmoul, Maher Al Qahttani, Azhar et leurs semblables) forment une secte destructrice dont le mihnaj est plus vil et plus large que la haddadiya.
L'imam Rabi' Al Madkhaly a dit: << La haddadiya n'est pas un minhaj islamique, ni salafi, mais aussi, ce n'est pas non plus un minhaj humain. C'est un minhaj sauvage. >> Le minhaj signifie la doctrine, la voie et la méthodologie.
L'imam Rabi' Al Madkhaly a dit: << La haddadiya n'est pas un minhaj islamique, ni salafi, mais aussi, ce n'est pas non plus un minhaj humain. C'est un minhaj sauvage. >> Le minhaj signifie la doctrine, la voie et la méthodologie.
La haddadiya englobe plusieurs sujets, mais nous pouvons la définir comme étant le fait de juger irréparable les erreurs d'un musulman et de le mépriser ou de l'abandonner (quand bien même il serait excusable ou repenti).
Ch. Rabi' a aussi dit:
"Si la personne commet une seule erreur ou bien qu'elle ignore un sujet, ils s'écrient : «Par Allah c'est un ignorant !». Ce sont des voies destructrices. Il est obligatoire que nous respections les savants, que nous respections les étudiants en science, que les musulmans se respectent mutuellement, et que nous ne rendions pas licite l'honneur des autres à la moindre opportunité..."
Marhaban ya talib al 'ilm p. 342
Ceci est un aspect, mais le pilier de la nouvelle secte est le mensonge... La rupture des mousa'fiqua d'avec les gens de la Sounnah ne se fait pas sans vices...
Ch. Rabi' a aussi dit:
"Si la personne commet une seule erreur ou bien qu'elle ignore un sujet, ils s'écrient : «Par Allah c'est un ignorant !». Ce sont des voies destructrices. Il est obligatoire que nous respections les savants, que nous respections les étudiants en science, que les musulmans se respectent mutuellement, et que nous ne rendions pas licite l'honneur des autres à la moindre opportunité..."
Marhaban ya talib al 'ilm p. 342
Ceci est un aspect, mais le pilier de la nouvelle secte est le mensonge... La rupture des mousa'fiqua d'avec les gens de la Sounnah ne se fait pas sans vices...
'AbdouSalam Abou Yahya
